450 756 1818

BMS 2000

Site donnant accès aux copies des actes de naissance, mariage, décès; principal site pour les actes d’états-civil enregistrés au Québec (Nouvelle-France, Bas-Canada, Québec) principalement dans les paroisses. Les informations sont indexés facilitant la recherche (il suffit d’inscrire le patronyme ou autres informations détenues par le chercheur)

Groupe BMS2000, est un projet coopératif de mise en commun des données généalogiques de 24 sociétés de généalogie du Québec et des environs immédiats. Une base commune de données de fiches de baptêmes, de mariages et de sépultures de 16,1 millions de fiches concrétise cette mise en commun.

La SGL est membre de ce projet et y collabore activement.

http://www.bms2000.org/fr

BMS – ÉTAT-CIVIL France

Il existe de nombreux sites permettant aux chercheurs d’accéder aux actes d’État-civil anciens et récents. Il existe en particulier deux sites principaux et tous les sites départementaux.

On peut aussi retrouver des archives d » États-civil par des sites coopératifs (Familles parisiennes …. Par exemple :

https://archives.charente-maritime.fr/consulter-documents-numerises

https://archinoe.fr/console/ir_ead_visu.php?eadid=FRAD017_Etatcivil_XXesiecle_pub&ir=17022

http://www.archinoe.fr/console/ir_instrument_consulte.php?id=19&html=1&pdf=1&doc=1&ead=1&img=1&l=400&pli=1&mod=1&lic=120&lir=120&cli=1&rs=1&ra=1&rc=1&rr=1&ru=1&c=6691&n=1&a=0&k=74f2d8b815bfc2d21a5992be22704590

  • État-civil du Calvados :

https://archives.calvados.fr/page/genealogie

  • …. etc ….
  • Projet Famille Parisiennes

L’objectif du projet est de constituer des outils pour faciliter les recherches sur les familles parisiennes, ceci en mutualisant les moyens de ceux qui font des recherches sur Paris, et tout particulièrement dans les fonds du Minutier Central des Notaires parisiens. Cette base de données donne accès aussi à des contrats de mariage.

Voir aussi Archives de la Nouvelle-France et Bibliothèque Nationale de France – Gallica (dans « SITES D’ARCHIVES » plus loin).

ARCHIVES DE LA NOUVELLE FRANCE

La Direction des Archives de France, Bibliothèque et Archives Canada, Bibliothèque et Archives nationales du Québec et l’Ambassade du Canada à Paris ont constitué des équipes de travail en constante et efficace liaison entre les deux continents. Ce site donne accès à une exposition virtuelle ainsi qu’à une base de données contenant plus d’un million d’images. La base de données contient la description et la reproduction de documents d’archives concernant la Nouvelle-France, conservés aux centres d’archives suivant

  • Archives nationales d’Outre-Mer (Aix-en-Provence)
  • Archives nationales – site de Paris
  • Archives départementales de la Charente-Maritime (La Rochelle)
  • Archives départementales de la Gironde (Bordeaux)
  • Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques (Pau)
  • Bibliothèque et Archives Canada (Ottawa)
  • Bibliothèque et Archives nationales du Québec (Québec)

https://nouvelle-france.org/fra/Pages/archives-nouvelle-france.aspx

NAVIRES VENUS EN NOUVELLE-France DES ORIGINES À 1699

L’auteur, sa famille et ses collaborateurs amassent depuis dix-neuf ans les informations sur les navires venus en Nouvelle-France en utilisant des sources reconnues telles que les travaux de Marcel Trudel, de Delafosse, de J.F. Bosher, d’Yves Landry, de René Jetté, aussi des Relations des Jésuites, des actes d’état civil et notariés québécois, acadiens et français et surtout du site web Archives Canada-France.

Le site est consacré aux navires de commerce, ceux qui ont été les plus susceptibles d’amener des passagers en Nouvelle-France. Par contre lorsque des navires de pêche sont mentionnés dans des sources, celles de l’histoire dite « officielle » ces informations sont aussi répertoriées sur ce site, car parfois certains de ceux-ci ont aussi amené des passagers. (Toutefois il faudrait un site spécial pour ces navires de pêche. Au 17e siècle par exemple, de France seulement, il en est venu plus de 600, sans parler des îles britanniques, de l’Espagne, du Portugal, des Pays-Bas et aussi surtout sans oublier les innombrables bâteaux basques; donc infiniment plus, que les rares navires de commerce).

Maintenant les rôles d’équipage et de passagers sont accessibles au grand public. Par contre quand ces rôles sont inexistants, il est possible en recoupant l’information obtenue des différentes sources, dont les Relations des Jésuites, les listes de navires de Delafosse, les listes d’engagés de Desbiens, les Rapports de l’Archiviste du Québec, etc., de les reconstituer en partie. On peut alors déduire, à partir d’informations fragmentaires, que tel passager s’est probablement embarqué sur tel navire mais cela ne demeure que des spéculations.

https://naviresnouvellefrance.net/

 

 

La société d’histoire des filles du roi

La mission de la société se résume ainsi : Connaître, reconnaître, faire connaître, et même réhabiliter dans l’opinion publique ces quelque 800 femmes venues en Nouvelle-France de 1663 à 1673 pour peupler la colonie naissante; elles étaient dotées par le roi de France d’où leur nom « Filles du Roy ». Développer la généalogie par les femmes en encourageant l’établissement de lignées mitochondriales : de plus en plus, on cherche ses origines par les lignées de femmes, c’est-à-dire de fille en mère jusqu’à son ancêtre-femme.

La liste des « Filles du roi » est accessible sur ce site.

http://lesfillesduroy-quebec.org/

http://lesfillesduroy-quebec.org/les-filles-du-roy/listes-et-tableaux/161-listes-des-764-filles-du-roy-selon-yves-landry

De nombreux sites d’archives ou d’histoire traitent ou abordent le sujet des « Filles du Roi. Voir en particulier :

https://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=26366&type=pge